Vandenbroucke: la thèse du suicide se précise
D'après les premiers éléments de l'enquête, Frank Vandenbroucke aurait été en possession d'un somnifère, d'un anxiolytique et d'insuline. "Les deux premiers produits ne sont pas en cause. On les retrouve sur la table de nuit de bien des citoyens belges" a expliqué de Docteur Chris Goossens, un médecin du sport qui s'est occupé de VDB alors qu'il avait entre 15 et 21 ans. "Mais l'insuline, que l'on prend normalement quand on souffre de diabète, peut devenir mortelle à fortes doses. Mais une telle mort n'aurait alors strictement rien à voir avec une embolie pulmonaire", précise-t-il. Que s'est-il passé après cette escapade nocturne en compagnie d'une Sénégalaise. Accident ? Suicide? La deuxième piste semble gagner du terrain. Et les somnifères et tranquillisants n'auraient alors servis qu'à apaiser la peur. (LB/Picture : photo news)