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Si vous ne le saviez pas encore, pendant les Jeux Olympiques, il y a comme une envie de sexe dans l’air. Les sportifs profitent de la période pour se faire plaisir et multiplier les relations. En 2021, dans une interview accordée au New York Post, l’ancienne athlète allemande Susen Tiedtke (experte en saut en longueur), avait expliqué ce phénomène. 

Selon elle, le sexe est “inévitable” pendant les JO. “Les athlètes sont au sommet de leur forme. Une fois la compétition terminée, ils veulent libérer leur énergie”. Pour appuyer son propos, la gardienne de football américaine, Hope Solo, avait également affirmé que les relations charnelles faisaient “partie intégrante des Jeux olympiques”. “Vous voulez garder des souvenirs, que ce soit sur le plan sportif ou ‘physique’. J’ai vu des gens faire l’amour en plein air, sur les pelouses, entre des bâtiments”. 

Vu sous l’angle de la thérapeute relationnelle Tammy Nelson, qui avait également été interrogée par le New York Post, le phénomène serait dû à la libération importante de dopamine et d’adrénaline. Ces hormones “peuvent supprimer le stress et même diminuer les pensées négatives et les sentiments de culpabilité (…) Les hormones comme la sérotonine, l'épinéphrine et la dopamine sont des substances chimiques du cerveau qui influencent la libido et l'excitation sex…” Elle poursuit : “la dopamine est connue comme l'hormone du bien-être. Elle est essentielle au système de récompense du cerveau et votre corps la libère sans aucun doute en abondance si vous établissez un nouveau record olympique ou mondial”. Selon elle, les athlètes s’adonnent aux plaisirs de la chair pour se détendre avant une compétition. 

Cette année à Paris, pas moins de 300 000 préservatifs seront fournis au village olympique pour sensibiliser et prévenir toutes IST (infections sex… transmissibles).  

(AsD - Source : Demotivateur - Illustration : Unsplash)